Je suis le modeste et humble ( ce qui constitue à l’évidence un pléonasme ) auteur de cet "article" [celui consacré aux clones de Bertrand Cantat]. Tâchons d’être concis, il me semble superflu de s’attarder sur les niaiseries qui ont pu être débitées ici et là par des ectoplasmes insignifiants : Tout d’abord, un avis personnel : le mien. Il n’y a pas d’excuse à frapper une femme. Je fus élevé dans ce principe ( un parmi tant d’autres ) et n’en démoderai pas, Monsieur Cantat étant un artiste ou un tourneur-fraiseur, talentueux ou non : cela n’y change rien. Cela n’enlève rien à ses chansons qui, sans avoir la place qu’occupe Mascagni dans mon cœur, ne me laissent pas toujours indifférent. Et il y a encore moins d’excuse à justifier un acte criminel ( ceci constitue d’ailleurs et si je ne m’abuse un délit, avis aux amateurs/trices ). Revenons à ces sautes d’humeurs adolescentes disséminées ici et là sur cet excellent journal dont je salue l’auteur au passage. *Je vilipende la crasse bêtise de ceux qui s’abaissent à se trouver des idoles alors qu’ils se proclament sans Dieu ni maître ? J’en suis fort aise et je vais me gêner pour continuer à le faire ! *Je conseille néanmoins à nos amis émotifs et fâchés avec le calendrier de reconsidérer le fait que cet article date de AVANT cette tragique affaire impliquant entre autre monsieur Bertrand Cantat. Si ceux-ci sont encore trop bas de plafonds pour comprendre, je leur conseille l’île de la tentation où leur indignation très mode et très Florent Pagny sera appréciée à sa juste valeur. Et que si ceux-ci ne sont pas capable de comprendre l’humour du second degré, l’humour canal plus si tendance est fait pour eux. Est-il utile de préciser que ce billet n’attend aucune réponse ?
Perceval
Texte mentionné par Perceval : Bertrand Cantat cloné
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à 13:01