J’aurais pu en faire des lignes. J’aurais pu en faire des pages. Sans en avoir l’air j’aurai pu en étaler et en étaler encore. Comme cela se fait. Comme c’est si beau. Mais je n’ai que le souvenir de tes yeux me couvant comme un poussin. Mais je n’ai que le souvenir de tes cuisses s’ouvrant comme un océan de lumière. Tes cuisses… Comme une araignée de dentelle. Alors que dire ?
Je suis par terre. Et alors ? Cela arrive à d’autre non ! Même des marins plus aguerris. Oh comme tu me manqueras. Oh comme le long de mes traversées, la voix fatiguée je te chanterai. Dieu sait comme je t’ai aimé. Tu le sais. Adieu mon amour. Adieu. Bonne route !