Quand tout va bien... et qu’il n’y a rien à en dire
En ce moment, je n’ai rien à dire. Rien à écrire. Ce n’est pas là, tout juste maintenant, non c’est depuis une journée. Mais je n’en ai rien à dire. Que dire d’autre que « j’ai travaillé, là je vais manger, comme hier d’ailleurs, il faut que je fasse des courses et que je prenne un rendez-vous pour ma voiture ». Donc rien. Pas de truc drôle, pas de choses graves, aucun rhum, pas de coup de blues depuis vingt-quatre heures. Du coup, je ne trouve rien à mettre dans mon journal. Car en plus je n’ai pas regardé la télé, donc aucune ânerie n’a tenté de me contaminer. Ah si, lundi soir j’ai un peu regardé Scrupules… Il n’y a rien à en dire tellement il n’y a rien à en dire, c’est dire comme ce fut un grand moment… Au mieux je peux préciser un peu : ça parlait des gens qui n’avaient pas de scrupules à être jaloux au point d’en pourrir la vie aux autres. Inintéressant. Grotesque. Mais avec une présentatrice talentueuse, elle sait écouter et ne pas parler, j’ai déjà oublié à quoi elle ressemble tellement elle a su se faire discrète. A part ça ?
Rien, je le disais tout à l’heure. Ai consacré trop de temps à mon travail sans doute, à la rigueur je pourrai parler de boulot… Toutefois, j’ai déjà travaillé, je ne vais pas en plus en parler ! Mais là, c’est bon, ça va s’arrêter, je vais pouvoir un peu sortir. Peut-être voir Jessica ce soir… A moins que ce ne soit demain soir. D’ici là j’ai du sommeil à rattraper. Et là-dessus aussi, c’est pareil, il n’y a pas grand-chose à dire. Je ne rencontrerai aucun problème.
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à 18:58