Alors qu’avec Mélodie cela vient de se finir, je me rends compte qu’elle se confondait avec mon journal. Que je l’avais commencé un peu avant elle, et que finalement elle l’avait particulièrement nourri. En publiant le texte précédent, j’ai eu le sentiment de finir mon journal, de dessiner un point final à celui-ci. Me voici un peu dans la même situation que si j’en commençais un nouveau.
A l’horizon, devant moi, une page blanche… Dès demain je commencerai à la remplir.
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à 00:51